Ipraalax 20mg brûlures estomacs comprimés
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Ipraalox 20mg brûlures estomac comprimés

À partir de 4,90 €

Avertissement

Ceci est un médicament, veuillez lire attentivement la notice ! Les informations relatives aux précautions d'emploi : interactions médicamenteuses, contre-indications, mises en garde spéciales, effets indésirables ainsi que la posologie sont détaillées par la notice de ce médicament, téléchargeable et imprimable en bas de descriptif.

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Pharmacovigilance : Déclarer un effet indésirable

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Description

A quoi sert Ipraalox ?

Il sert au traitement à court terme des symptômes du reflux gastro-eosophagien (par exemple pyrosis, régurgitation acide) chez l'adulte, c'est un médicament contre l'acidité gastrique et les brulures destomac et de l'eosophage.

Propriétés

Le pantoprazole est un benzimidazole substitué qui inhibe la sécrétion gastrique d'acide chlorhydrique de l'estomac par un blocage spécifique des pompes à protons des cellules pariétales (cellules composant la paroi des glandes gastriques).
Le pantoprazole est transformé en sa forme active, un sulfénamide cyclique, dans les canalicules acides de la cellule pariétale, où il inhibe l'enzyme H+/K+ ATPase, c'est-à-dire la phase finale de la sécrétion acide gastrique.
Cette inhibition est dose-dépendante et concerne à la fois la sécrétion acide basale et stimulée. Chez la plupart des patients, la disparition des symptômes est obtenue en une semaine. Le pantoprazole diminue l'acidité gastrique et augmente proportionnellement la gastrinémie (protéine produite par l'estomac, dont elle stimule la sécrétion acide). Cette augmentation est réversible. Le pantoprazole se liant avec l'enzyme responsable de la phase terminale, il diminue la sécrétion acide indépendamment de l'origine du stimulus (acétylcholine, histamine, gastrine). L'effet est identique que la voie d'administration soit orale ou intraveineuse.
La gastrinémie à jeun est augmentée sous pantoprazole. En traitement de courte durée, les valeurs de gastrinémie ne dépassent pas les limites supérieures de la normale dans la plupart des cas. Ces valeurs doublent le plus souvent lors des traitements au long cours. Toutefois, une élévation excessive n'a été notée que dans des cas isolés. En conséquence, une augmentation légère à modérée du nombre des cellules endocrines de l'estomac (cellules ECL) a été observée dans de rares cas lors du traitement au long cours (de l'augmentation simple à l'hyperplasie adénomatoïde). Cependant, selon les études menées à ce jour, l'apparition de précurseurs carcinoïdes (hyperplasie atypique) ou de tumeurs carcinoïdes gastriques, tels que décrit chez l'animal, n'a pas été observée chez l'homme.

Efficacité clinique :
Une analyse rétrospective de 17 études menées chez 5960 patients atteints de reflux gastroduodénal (RGO), traités par le pantoprazole (20 mg) en monothérapie, a évalué les symptômes associés au reflux, par exemple pyrosis et régurgitation acide, selon une méthodologie standardisée. Les études sélectionnées devaient comporter au moins une mesure des symptômes de reflux acide à 2 semaines. Dans ces études, le diagnostic de RGO a été établi par un examen endoscopique, à l'exception de l'une d'entre elles où l'inclusion des patients reposait uniquement sur la symptomatologie.
Au cours de ces études, dans le groupe pantoprazole, la disparition totale du pyrosis est intervenue chez 54,0 % à 80,6 % des patients au bout de 7 jours, chez 62,9 % à 88,6 % au bout de 14  jours et chez 68,1 % à 92,3 % au bout de 28 jours.
Les résultats concernant la disparition complète des régurgitations acides ont été similaires à ceux obtenus pour le pyrosis. Le pourcentage des patients ayant bénéficié d'une disparition complète des régurgitations acides a été de 61,5 % à 84,4 % au bout de 7 jours, de 67,7 % à 90,4 % au bout de 14 jours et de 75,2 % à 94,5 % au bout de 28 jours.
La supériorité du pantoprazole versus placebo et anti-H2 a été démontrée de manière constante, de même qu'une non-infériorité versus les autres inhibiteurs de la pompe à protons. Les taux de soulagement des symptômes de reflux acide ont été largement indépendants du stade initial du RGO.

Composition d'ipraalox 20mg

Il contient 20 mg de Pantoprazole (DCI) sodique sesquihydraté exprimé en pantoprazole
Ses excipients sont : maltitol (E965), crospovidone type B, carmellose sodique, carbonate de sodium anhydre, stéarate de calcium. Enrobage : alcool polyvinylique, talc, dioxyde de titane (E 171), macrogol 3350, lécithine de soja (dérivée de l'huile de soja), oxyde de fer jaune (E 172), carbonate de sodium anhydre, copolymère d'acide méthacrylique et d'acrylate d'éthyle (1:1), laurylsulfate de sodium, polysorbate 80, citrate de triéthyle.
Teneur en maltitol : 38,425 mg/cp.
Teneur en lécithine de soja : 0,345 mg/cp.

Quelles sont les précautions d'emploi ?

Il est conseillé aux patients de prendre un avis médical en cas :
-De perte non intentionnelle de poids, anémie (baisse anormale du taux d'hémoglobine dans le sang), saignement digestif, dysphagie (sensation de gène ressentie au moment de l'alimentation), vomissements persistants ou vomissements avec du sang, car la prise de pantoprazole peut masquer les symptômes et retarder le diagnostic d'une affection sévère. Dans ces cas, une affection maligne doit être écartée.
-D'antécédents d'ulcère gastrique ou de chirurgie digestive.
-De traitement symptomatique continu d'une digestion difficile ou d'un pyrosis depuis 4 semaines ou plus.
-De jaunisse, d'insuffisance hépatique ou de maladie hépatique.
-De toute autre maladie grave affectant l'état général.
-D'apparition de nouveaux symptômes ou modification récente de symptômes chez des patients âgés de plus de 55 ans.
-Les patients souffrant de troubles persistants et récidivants de type digestion difficile (dyspepsie) ou brûlures d'estomac (pyrosis) doivent régulièrement consulter leur médecin. Plus particulièrement, les patients âgés de plus de 55 ans prenant quotidiennement un médicament en vente libre en raison d'une digestion difficile ou de brûlures d'estomac doivent en informer leur pharmacien ou leur médecin.
-Les patients ne doivent pas prendre simultanément un autre inhibiteur de la pompe à protons ou un anti-H2.
-Les patients devant faire l'objet d'une endoscopie (examen médical qui permet de visualiser l'intérieur du corps) ou d'un test respiratoire à l'urée, doivent consulter leur médecin avant de prendre ce médicament.
-Les patients doivent être informés que les comprimés ne sont pas destinés à apporter un soulagement immédiat.
La prise de pantoprazole peut apporter un soulagement symptomatique après environ un jour de traitement. Toutefois, il peut s'avérer nécessaire de poursuivre le traitement pendant 7 jours en vue d'une disparition complète des brûlures d'estomac.
-Le pantoprazole ne doit pas être pris à titre préventif.
-Une diminution de l'acidité gastrique, qu'elle qu'en soit la cause y compris les inhibiteurs de la pompe à protons, peut augmenter la quantité de bactéries normalement présentes dans le tractus gastro-intestinal.
-Un traitement par un anti-acide peut conduire à une légère augmentation du risque d'infections gastro-intestinales, notamment à Salmonella, Campylobacter ou Clostridium difficile.
-Ce médicament contient du maltitol. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose (maladie héréditaire rare).
-Ce médicament contient de la lécithine, dérivé de l'huile de soja. Son utilisation est contre-indiquée chez les patients présentant une allergie à l'arachide ou au soja.

Posologie de ipraalox 20mg

La dose recommandée est de 20 mg de pantoprazole (1 comprimé) par jour.

La prise des comprimés pendant 2 ou 3 jours consécutifs peut être nécessaire pour l'obtention d'une amélioration des symptômes. Une fois les symptômes disparus, le traitement doit être arrêté.

La durée du traitement ne doit pas excéder 4 semaines sans avis médical.

En cas de persistance des symptômes après 2 semaines de traitement continu, le patient doit consulter un médecin.

Populations particulières :
Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire chez le sujet âgé ou l'insuffisant hépatique ou rénal.
Population pédiatrique :
L'utilisation d'Ipraalox n'est pas recommandée chez l'enfant et l'adolescent de moins de 18 ans en raison de l'insuffisance des données relatives à son efficacité et sa tolérance.

Quelles sont les contre indications ?

Hypersensibilité à la substance active, benzimidazole substitué, à la lécithine (dérivée de l'huile de soja) ou à l'un des autres excipients .

Ne doit pas être administré avec l'atazanavir .

Information/Avis

Ce site permet l'achat d'Ipraalox 20mg comprimés sur internet à un prix qui respecte les dispositions du code la Santé publique. Aucune promotion n'est autorisée sur la vente des médicaments afin de ne pas en favoriser la surconsommation.

Forme et présentation

Il se présente sous forme de comprimé gastrorésistant à 20 mg (ovale ; jaune) :  Boîtes de 7 et de 14, sous plaquettes thermoformées.

Mode d'administration

Ipraalox 20 mg, comprimé gastro-résistant, ne doit pas être croqué ou écrasé. Il doit être avalé entier avec un peu d'eau avant un repas.

Interactions

Ipraalox peut réduire l'absorption des substances actives dont la biodisponibilité dépend du pH gastrique (par exemple kétoconazole).
L'administration concomitante d'atazanavir 300 mg/ritonavir 100 mg et d'oméprazole (40 mg une fois par jour) ou d'atazanavir 400 mg et de lansoprazole (dose unique de 60 mg) chez des volontaires sains a entraîné une réduction substantielle de la biodisponibilité de l'atazanavir. L'absorption de l'atazanavir est pH-dépendante, par conséquent le pantoprazole ne doit pas être administré avec l'atazanavir .
Le pantoprazole est métabolisé au niveau du foie, par le système des isoenzymes du cytochrome P450.
Une interaction entre le pantoprazole et d'autres substances métabolisées par le même système enzymatique ne peut être exclue. Cependant, aucune interaction cliniquement significative n'a été observée au cours d'études spécifiques avec les médicaments suivants : carbamazépine, caféine, diazépam, diclofénac, digoxine, éthanol, glibenclamide, métoprolol, naproxène, nifédipine, phénytoïne, piroxicam, théophylline et un contraceptif oral contenant du lévonorgestrel et de l'éthinylestradiol.
Bien qu'aucune interaction n'ait été observée lors de l'administration concomitante de phenprocoumone ou de warfarine au cours des études pharmacocinétiques cliniques, quelques cas isolés de modification de l'International Normalised Ratio (INR) ont été rapportés, lors de leur administration simultanée, après la mise sur le marché. En conséquence, chez les patients traités par des anticoagulants coumariniques (par exemple phenprocoumone ou warfarine), le suivi de l'INR/taux de prothrombine est recommandé au début et à l'arrêt du traitement, ou en cas d'administration intermittente de pantoprazole.
Il n'existe pas d'interaction avec les antiacides administrés de manière concomitante.

Que faire en cas de Fertilité - Grossesse - Allaitement ?

Grossesse :
Il n'existe pas de données suffisantes concernant l'utilisation du pantoprazole chez la femme enceinte.
Au cours des études de reproduction chez l'animal, des signes de foetotoxicité ont été observés. Des études précliniques n'ont révélé aucun signe d'altération de la fertilité ou d'effet tératogène. Le risque potentiel chez l'homme n'est pas connu. Ce médicament ne doit pas être utilisé au cours de la grossesse.

Allaitement :
Il n'existe aucune donnée sur le passage du pantoprazole dans le lait humain. Des études menées chez l'animal ont montré que le pantoprazole passait dans le lait maternel. Ce médicament ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement.

Conduite et utilisation de machines

Les effets indésirables comme des sensations vertigineuses et /ou des troubles visuels peuvent survenir.
Les patients présentant ce type d'effets indésirables ne doivent pas conduire de véhicule ni utiliser des machines.

Quels sont les effets indésirables ?

Environ 5 % des patients sont susceptibles de présenter des effets indésirables. Les effets indésirables le plus souvent rapportés sont une diarrhée et des céphalées, chez environ 1 % des patients. Les effets indésirables suivants ont été rapportés avec le pantoprazole.
Les effets indésirables mentionnés dans le tableau ci-dessous sont classés selon l'ordre de fréquence suivant : très fréquent ( 1/10), fréquent ( 1/100, < 1/10), peu fréquent ( 1/1000, < 1/100), rare ( 1/10 000, < 1/1000), très rare (< 1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés suivant un ordre décroissant de gravité.

Classe de systèmes d'organes
Fréquence Effets indésirables
Affections hématologiques et du système lymphatique
Rare Agranulocytose
Très rare Thrombopénie, leucopénie, pancytopénie
Affections du système immunitaire
Rare Hypersensibilité (y compris réactions anaphylactiques et choc anaphylactique)
Troubles du métabolisme et de la nutrition
Rare Hyperlipidémies et augmentation des lipides (triglycérides, cholestérol), variations de poids
Fréquence indéterminée Hyponatrémie, hypomagnésémie
Affections psychiatriques
Peu fréquent Troubles du sommeil
Rare Dépression (et autres aggravations)
Très rare Désorientation (et autres aggravations)
Fréquence indéterminée Hallucinations, confusion (en particulier chez les patients prédisposés et aggravation de ces symptômes, lorsqu'ils sont préexistants)
Affections du système nerveux
Peu fréquent Céphalées, vertiges
Rare Altération du goût
Affections oculaires
Rare Troubles de la vue/vision floue
Affections gastro-intestinales
Peu fréquent Diarrhée, nausées/vomissements, distension abdominale et ballonnements, constipation, sécheresse de la bouche, douleur et gêne abdominales
Affections hépatobiliaires
Peu fréquent Élévation des enzymes hépatiques (transaminases, gamma-glutamyltranspeptidases))
Rare Élévation de la bilirubine
Fréquence indéterminée Lésion hépatocellulaire, ictère (m uvais fonctionnement du foi), insuffisance hépatocellulaire
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Peu fréquent Rash cutané/exanthème/éruption, prurit
Rare Urticaire, oedème de Quincke
Fréquence indéterminée Syndrome de Stevens-Johnson (maladie rare de la peau qui peut entrainer la mort), érythème polymorphe, syndrome de Lyell (maladie de la peau grave qui débute par l'apparition de plaques sur tout le corps), photosensibilité
Affections musculosquelettiques et systémiques
Rare Arthralgies (douleurs articulaires), myalgies (douleurs musculaires)
Affections du rein et des voies urinaires
Fréquence indéterminée Néphrite interstitielle (maladie du rein)
Affections des fonctions reproductives et du sein
Rare Gynécomastie (développement excessif des glandes mammaires chez l'homme)
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Peu fréquent Asthénie, fatigue et malaise
Rare Élévation de la température corporelle, oedème périphérique

Que faire en cas de surdosage ?

Aucun symptôme de surdosage n'est connu chez l'homme.
Des doses allant jusqu'à 240 mg par voie intraveineuse ont été administrées pendant deux minutes et ont été bien tolérées.
Le pantoprazole est fortement lié aux protéines et n'est donc pas facilement dialysable.
En cas de surdosage avec des signes cliniques d'intoxication, aucune recommandation thérapeutique spécifique ne peut être donnée, à l'exception d'un traitement symptomatique et de soutien

Modalités de conservation

Pas de précautions particulières.

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